L’année dernière (comme en 2014, 2015 et 2016), je me suis lancée dans ce qui est devenu une petite tradition: le challenge Inktober. Beaucoup dépassent du but de base, en réalisant tout simplement une nouvelle illustration tous les jours du mois d’octobre. Beaucoup se sont pincés du nez en voyant affluer les dessins en couleur, en peinture ou en numérique. Un peu opposé au but de base, selon moi, où le créateur du challenge s’était donné pour but de se contraindre au dessin à l’encre, stylo ou plume, et donc sur papier traditionnel. Je reste volontairement dans cette optique, je n’ai pas de compétences particulières à affiner, je veux juste m’amuser sans être collée à un écran. Et puis après tout, peu importe le médium, tant que le défi est relevé!
J’ai dépassé encore cette année le délai d’un mois, me disant que l’essentiel est de finir le challenge Inktober. Et puis finalement je n’en ai fait que 28, sur 31 dessins. M’arrêter si près de la fin, quel dommage…
J’avais commencé à travailler les motifs végétaux cette fois, principalement les arbres, mon gros point faible du moment. Et comme d’habitude j’ai un peu dévié en fonction de la motivation. Je suis restée, comme l’année dernière, sur un unique stylo, soit le Muji 0,38mm, dont j’aime le tracé et la finesse.
A l’année prochaine, pour l’Inktober 2018! 😉