A regarder, une vidéo prise lors des Réveils Créatifs à Toulouse, où l’auteur du livre « Profession Graphiste Indépendant » Julien Moya présente un résumé de sa vision de notre métier, celui de graphiste freelance. Non pas sous l’angle habituel des règles techniques à maîtriser, mais plus sous un angle psychologique de la chose. Finalement, quelque soit le métier, on s’y rejoint beaucoup dans les conseils: ne pas se sous-évaluer, ne pas accepeter de bosser gratuitement, connaître la valeur de son travail, ne pas laisser le client prendre le dessus sur vous… C’est très résumé ce que je viens de dire là.
Mais en tout cas, je suis Yamo (son pseudo sur les forums) depuis bien longtemps, peu de temps avant d’avoir été même salariée, et avant même d’envisager l’éventualité de tenter de me mettre à mon compte. Je peux vous dire déjà, que même avec ce genre de ligne de conduite dans la tête on fait déjà quelques erreurs, mais sans, cela aurait pu être bien pire. Dans les métiers de création, les métiers de services, ceux où nous vendons notre matière grise, c’est quelque chose d’important; plus à mon sens que de suivre des conférences à se prendre la nouille pour savoir quel framework à la mode utiliser pour une maquette web. Je suis également tout à fait d’accord sur le fait qu’être graphiste web et se cantonner à une veille strictement web, voire strictement graphique, est contre-productif et assèche les idées – j’en parlerai ici un jour dans un autre billet.
Amis graphistes, illustrateurs, photographes, freelances de tous les domaines, prenez le temps de voir cette vidéo et d’y réfléchir; c’est motivant.
Des bisous.
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